african links in DAKAR // Sénégal

sun

© Virginie Ehonian

21h05, arrivée à l’aéroport international Léopold Sédar Senghor, à Yoff. L’air est humide et le thermomètre affiche une température de 20°c. Je suis anxieuse et stressée à l’idée de passer la frontière d’un pays d’Afrique que je m’apprête à découvrir : le Sénégal.

Premier contact avec une dame libanaise née à Dakar: je l’aide à remplir son formulaire d’arrivée. Reconnaissante, elle me présente à un jeune homme, Cheikh. Lui vantant mes mérites puis lui suggère de me donner son numéro de téléphone afin de m’aider dans mon aventure sénégalaise.

La boucle de stress reprend de la vigueur, lorsque j’attends mes bagages et que les passagers rencontrés à Paris, me parlent en wolof… Dernière étape, je dois retrouver le monsieur venu me chercher à l’aéroport. Après un aller-retour au service des douanes, je le retrouve enfin à l’extérieur, parmi la foule, une pancarte avec mon nom et prénom.

Revendeurs de puces Orange, porteurs de bagages, chiens errants, klaxons de voitures, et vacarme urbain : bienvenue à Dakar, où rien ne se gaspille mais se transforme, où le salut cordial illustre la Téranga*, où les rires des enfants nourrissent la joie du voisinage.

English

21:05 PM, arrival at the Leopold Sedar Senghor International Airport in Yoff. The air is moist and the barometer displays a temperature of 20 ° C.

I am anxious and stressed at the idea of ​​crossing the border of a country, part of Africa that I know, Senegal. First contact with a Lebanese lady born in Dakar : I help her to  fulfill her arrival form. Grateful she introduces me to a young man Cheikh; praising my merits, she asks him to help me in my new Senegalese life .

Loop stress regains strength when I wait for my luggage and passengers whose face I recognize  and met in Paris ,  speak to me in Wolof language… Last step, I must find the man who is come to pick me up. After a round trip to the customs service, I finally find him outside, among the crowd, with a sign with my name and surname.

Dealers Orange phone chips, porters, stray dogs, car horns, and urban noise : welcome to Dakar, where nothing is lost but transformed, where the cordial greeting illustrates the Teranga*, where the laughter of children feed the joy of the neighborhood.

* The Senegalese hospitality

© Virginie Ehonian

Publicité

4 commentaires

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s