Réchauffement climatique, disparition des espèces animales, désastres sanitaires… Notre monde va mal. Très mal. En parallèle de toutes les mesures écologiques, les artistes se mobilisent également pour témoigner et faire entendre leurs voix.
« Notre monde brûle », c’est le titre d’une des expositions de la nouvelle saison – Intitulée « Fragmenter le monde », partie 1- au Palais de Tokyo.
En sillonnant l’exposition, j’ai pu ressentir la tension d’un chaos imminent qui menace notre planète. Là où d’autres dénoncent, certains apportent des solutions afin de vivre en harmonie. N’est-ce pas là le rôle de l’art contemporain?
A voir absolument les films des artistes John Akomfrah, Amina Menia. Et les installations d’ Amal Kenawy, Otobong Nkanga, Sammy Baloji et Bady Dalloul…
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A voir jusqu’au 13 septembre 2020